Société de secours mutuels La Familiale (Confrançon, Ain)
- FR28011201200016_NA_000000356
- Corporate body
- 1894/1937
Société de secours mutuels La Familiale (Confrançon, Ain)
Amicale boule de Confrançon (Ain)
L'Avenir de la jeunesse bressane (Confrançon, Ain)
Syndicat intercommunal à vocation multiple du canton d'Izernore (Izernore, Ain)
Feugier (architecte ; cité en 1843)
Claret (notaire ; cité en 1793)
Jacquier, Alexis (cité en 1912)
Cattrat, Alphonse (1901-19.. ; garde champêtre)
Bubaton, Anthelme (cité en 1854)
Galliot, Gabriel (1747-.... ; capitaine)
Bourdin, Joseph (1819-1885 ; capitaine)
Bernard, Joseph (cité en 1826-1828)
Guillet-Brossette, L. (cité en 1890)
Derriaz, Marie (citée en 1908-1909)
Fouilloux, Albert (1870-1953 ; sénateur)
District Porte Ouest de la Dombes (Jassans-Riottier, Ain)
Le district est créé en 1995. Il est transformé en communauté de communes en 1999.
Coopérative d’utilisation de matériel agricole (Conand, Ain)
Le syndicat agricole de battage de Conand est créé en 1927. En 1949, il prend le nom de coopérative d’utilisation de matériel agricole.
Dès son origine, le syndicat a une durée d’existence limitée à la réalisation de son objet ou au maximum au mois de mars 1989.
En 1999, le SMIDOM adhère au syndicat mixte d’élimination, de traitement et de valorisation des déchets Beaujolais-Dombes (Villefranche-sur-Saône, Rhône, France).
Association foncière de remembrement (Jayat, Ain)
Montmerle-sur-Saône (Ain, France)
Ancien chef-lieu de châtellenie, en 1790 Montmerle devient chef-lieu de canton des communes d’Amareins, Cesseins, Chaleins, Fareins, Franchemeins, Genouilleux, Guéreins, Lurcy, Messimy et Montceaux. En 1800, le chef-lieu est supprimé et les communes sont réparties au profit des cantons de Thoissey et de Trévoux.
Association foncière de remembrement (Tossiat, Ain)
Bien que dissoute en 2011, son devenir est d'ores et déjà envisagé dès la fin de l'année 2006.
Colombe, Jeanne (citée en 1528)
Lorin, Benoît (cité en 1659 ; boulanger)
Fondé au XIIIe siècle dans un endroit désert sur lequel les chartreux de Portes ont installé des familles d’agriculteurs, le village était dépendant de la seigneurie de Saint-Rambert.
Conand est distraite d’Arandas et érigée en commune par décret du 6 septembre 1865.
Par arrêté préfectoral du 14 décembre 1990, est formé au 1er janvier 1991, entre les communes de Jayat, Malafretaz et Montrevel-en-Bresse, un syndicat intercommunal à vocation unique (Sivu) du groupement d’urbanisme de Montrevel - Malafretaz - Jayat.
Fin 1991, le conseil du District rural de Montrevel-en-Bresse décide de cesser la gestion des services et équipements qu’il assurait pour le compte des communes, dont le regroupement pédagogique et la maîtrise des ouvrages des travaux d’assainissement de Jayat, Malafretaz et Montrevel-en-Bresse. Par arrêté préfectoral du 11 décembre 1991, le Sivu est transformé en syndicat intercommunal à vocation multiple (Sivom) d’agglomération à compter du 1er janvier 1992.
Saint-Nizier-le-Bouchoux (Ain, France)
Au départ, la commune semble se trouver sous le vocable de Saint Nizier puis de Saint Antoine. On peut supposer qu’elle était sous la protection de l’un ou de l’autre de ces deux saints.
En 1601 et par le traité de Lyon, Saint-Nizier, qui faisait partie de le « Bresse savoyarde », est rattaché au royaume de France. Au cours du XVIIème siècle, la commune prend le nom de Saint Nizier le Bouchoux,. « Bouchoux » viendrait de « boscus » bois, pays de bois soit « Saint Nizier les Boscus ». Sous la Révolution française, la commune devient « Nizier La Liberté » puis reprend son nom actuel.
En 1795, les habitants de Saint-Nizier offrent l’asile au prêtre réfractaire Pierre Reboul, sous le nom d’emprunt de Villeneuve. Après avoir exercé clandestinement le culte pendant quelques années et être arrêté, il reprit l’exercice normal du culte en 1801 à Saint-Nizier-le-Bouchoux, où il resta jusqu’à sa mort en 1837 et où il fut enterré. C’est probablement en remerciement de l’accueil qui lui a été fait qu’il voulut léguer ses biens à la fabrique d’église ; ce que le préfet refusa.
La toponymie de Challex voit son origine dans le terme latin Calliacum, signifiant « lieu d’enceinte ».
Le territoire de Challex a été sous la domination de plusieurs pays : une enclave du comté de Genève dans la baronnie de Gex (1287-1291), pris par le comte Amédée V de Savoie en 1291 après deux mois de siège (1291-1308), restitué par le traité de Saint-Georges-d’Espéranche au comté de Genève (1308-1321), repris à nouveau par le comte de Savoie (1321-1337), restitué au comté de Genève par le traité de Carentenay (1337-1396), vendu à Olivier de Genève (1396-1537) puis sous domination bernoise (1537-1564) avant de devenir entièrement savoisienne (1564-1601) et enfin française (depuis 1601).
Sous l’Ancien Régime, Challex dépendait du bailliage et de la subdélégation de Gex ainsi que de l’élection de Belley. Quant à la seigneurie de Challex, elle était partagée par plusieurs familles et notamment les Corbière, Verdon, Confignon, Bernard, Roset, Lect, Favre, Lullin ou encore Bourgeois.
Plusieurs personnes liées à Challex peuvent être citées :
• Jean-Antoine Lépine (1720-1814), natif de Challex, horloger du Roi puis de l’Empereur, inventeur du calibre Lépine permettant de fabriquer des montres moins épaisses et fondateur de l’atelier Caron-Lépine. Il est également le beau-frère de Beaumarchais,
• Jean-Irénée Dépery (1796-1861), natif de Challex, vicaire général de Belley puis évêque de Gap dès 1844, fondateur de l’Académie flosalpine, auteur d’une Histoire hagiologique du diocèse de Belley (1835), d’une Biographie des hommes célèbres du département de l’Ain (1835) ou encore d’une Histoire politique et religieuse du Pays de Gex (1851).
• Alexandre Bonnaz (1812-1899), natif de Challex. Après avoir rejoint son oncle en Hongrie, il devient curé de Tribswetter puis prince-évêque de Temeswar (actuellement Timisoara en Roumanie) dès 1860
En 1789, Échenevex n’était qu’un village de la paroisse de Cessy, diocèse de Genève, archiprêtré du Haut-Gex.
Échenevex est distraite de la commune de Cessy (Ain, France) et érigée en commune par ordonnance royale du 1 octobre 1833 .
Sous l’Ancien Régime, le village de Craz dépendait de la seigneurie de Bognes et, juridiquement, du bailliage et de l’élection de Belley, de la subdélégation de Nantua et du mandement de Seyssel.
Génissiat a toujours été un hameau, tout d’abord de Craz-en-Michaille puis, dès 1827, d’Injoux. L’église Saint-Martin est une annexe de l’église paroissiale d’Injoux.
Sous l’Ancien Régime, le village dépendant du seigneur de Génissiat et, juridiquement, du bailliage, de l’élection et de la subdélégation de Belley et du mandement de Seyssel.
En 1827, Génissiat, hameau de Craz-en-Michaille est rattaché à la commune d'Injoux.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, le barrage de Génissiat, noyé en 1940, fut un très grand foyer de Résistance, impliquant un nombre important d’ouvriers, notamment nord-africains, dont beaucoup furent raflés le 12 février 1944. Le barrage permet un très grand développement d’Injoux au niveau des infrastructures et du nombre d’habitants. C’est en raison de l’importance qu’a pris le hameau et de la notoriété du barrage qui porte son nom, la commune d’Injoux change de nom au profit d’Injoux-Génissiat (1953-1963).
Injoux-Génissiat (Ain, France)
Des traces de civilisation se trouvent dans la commune : la grotte de la Bressane (sous la retenue d’eau du barrage de Génissiat) et l’abris de Sous-Sac, ou encore une voie romaine passant par Bériaz et Lingiaz.
Le 1er janvier 1973 les communes de Craz et d'Injoux fusionnent pour former la nouvelle commune d'Injoux-Génissiat.
En 1789, Lavours était une communauté du bailliage, élection et subdélégation de Belley, mandement de Rossillon.
Saint-Jean-le-Vieux (Ain, France)
Le hameau de Varey est dominé par un château fort. Ce château complètement restauré vers 1868, est certainement le plus beau reste de la féodalité dans le département. On peut encore voir une grande partie des fossés, les murs d’enceinte, le donjon. Ce château fut assiégé en 1325 par le duc de Savoie Edouard.
La commune de Charancin est décorée de la croix de guerre, décoration relative aux évènements de juin 1944, jour où les Allemands ont incendié le hameau de Saint-Maurice.
La commune fusionne avec Fitignieu et Sutrieu en janvier 1974. La commune obtient le statut de commune associée jusqu'en 1994 où la fusion-association des trois communes est transformée en fusion simple.
En 1974, la commune fusionne avec Charancin et Sutrieu. La commune obtient le statut de commune associée jusqu'en 1994 où la fusion-association des trois communes est transformée en fusion simple.
Sutrieu (Ain, France ; commune nouvelle)
La commune de Sutrieu est issue de la fusion des anciennes communes Charancin, Fitignieu et Sutrieu au 1er janvier 1974.
le 1er janvier 2019, la commune devient commune déléguée de Valromey-sur-Séran (avec Belmont-Luthézieu, Lompnieu et Vieu).
En 1790, la paroisse de Granges est érigée en commune.
Par délibération du 23 novembre 1972, le conseil municipal de Matafelon approuve la fusion entre Matafelon et Granges-sur-Ain.